mardi 15 novembre 2016

airs de Bach sur le Carillon de l'Hôtel de Ville de St-Étienne

Duchâble 30 ans Musée Paccard Sevrier

Duchâble 30 ans Musée Paccard Sevrier

Duchâble 30 ans Musée Paccard Sevrier

GUILLAUMES 06 inauguration de la fontaine musicale oeuvre de Jean Marc B...

Carillon : Gaillard (74) - Ars Sonora - Espace Louis Simon

Duchâble 30 ans Musée Paccard Sevrier

Fantaisie Hymne des verts

Carillon de Morzine, reportage: la pose de la plaque ...

Inauguration Ars Sonora Notre-dame de Bondeville par PACCARD HD.avi

jeudi 28 avril 2016

BEAUMONT 74

Réinstallation de la cloche de l'ancienne chapelle de
BEAUMONT (Haute-Savoie)

2015






2016



 

mercredi 23 mars 2016

LA RICHESSE?

Un père très riche, voulait enseigner à son enfant la signification du mot "pauvreté".
Il lui proposa d'aller passer une journée dans une famille à la campagne...
De retour en ville, le père lui demanda:
Alors, qu'as-tu pensé de cette expérience?
As-tu appris quelque chose?
L'enfant lui répondit:

- Nous avons un chien et eux en ont quatre...
- Nous avons une grande piscine, avec de l'eau traitée, mais eux ont un étang, avec de l'eau cristalline, des petits poissons et d'autres belles choses...
- Nous avons la lumière électrique pour éclairer notre jardin, mais eux ont les étoiles et la lune pour s'éclairer...
- Notre jardin arrive jusqu'au mur, le leur va jusqu'à l'horizon...
- Nous achetons notre repas, eux le cultive, le récolte et le cuisine...
- Nous écoutons des cd, eux ont une symphonie continue de criquets, de cigales et autres animaux... Parfois tout ceci est même accompagné par les chants du voisin, qui cultive sa terre...
- Nous utilisons le four à microondes et chez eux, tout ce qu'ils cuisinent à la saveur du feu lent...
- Pour nous protéger nous vivons avec des systèmes d'alarme et chez eux les portes restent toujours ouvertes, protégés par l'amitié de leurs voisins...
- Nous sommes toujours reliés à notre téléphone, à notre ordinateur, notre télévision, eux sont reliés à la vie, au ciel, au soleil, à l'eau, aux champs, aux animaux et à leur famille...
Le père resta très impressionné par tous ces propos...

L'enfant termina en disant ceci:
Merci papa pour m'avoir montré au combien nous sommes très pauvres...


 

mercredi 17 février 2016

2016

Stèle à la mémoire des Frères JACKSON

le 13 juillet inauguration avec les décendants des frères Jackson



C’est en 1999 que Gérard TARDY, maire de Lorette, me contacte avec l’idée de réaliser un monument à la mémoire des Frères JACKSON.

Ayant déjà réalisé le monument de la résistance, au carrefour de la rue du stade, je n’ai pas souhaité réaliser ce nouveau projet. J’ai, pour cela, mis en relation M. le Maire et mon ami sculpteur Albert-Louis CHANUT qui a réalisé en inox le monument souhaité.

A cause de mes compétences de portraitiste académique, il m’a chargé de réaliser une stèle à l’effigie  de deux des frères Jackson : William et Charles.

L’ensemble, financé par le mécénat industriel Lorettois, fut inauguré en 2000, ce même jour, les descendants, présents, des frères Jackson font remarquer qu’ils n’étaient pas deux mais quatre frères. La question se pose alors : comment rajouter les deux Frères manquants ?

En 2014 je suis contacté pas M. le Maire et M. Jérôme WARNERY au nom de l’équipe de liaison JACKSON. Je fais trois propositions, il est choisi de modifier le modèle de la première stèle en l’allongeant pour permettre de positionner les deux effigies des frères manquants : John et James.

N’étant pas satisfait de la qualité de la première stèle coulée en acier inoxydable, je choisi de couler cette nouvelle stèle en fonte métallisée finition polyester. Son inauguration eu lieu le 13 juillet 2016 avec la présence de nombreux descendants des frères JACKSON.

 Je remercie cette famille de m’avoir fait confiance et suis heureux d’avoir constaté leur satisfaction et même leur bonheur devant cette nouvelle stèle.




12 juillet la stèle est posée



Le 18 avril le modèle terminé est parti pour la FONDERIE VINCENT

les Frères JACKSON





dimanche 10 janvier 2016

LE DESIGN

?
L’objet est constitué par une série de containers modulés en forme de quartiers disposés circulairement autour d’un axe central sur lequel chaque quartier appuie par son arête rectiligne, tandis que toutes les arêtes courbes tournées vers l’extérieur proposent comme forme globale une sorte de sphère.

L’ensemble de ces quartiers est recueilli dans un emballage très caractérisé tant sur le plan de la matière que sur celui de la couleur, assez dur sur la surface extérieure et revêtu d’un rembourrage souple intérieurement qui sert de protection entre l’extérieur et l’ensemble des containers. Le matériau est partout de même nature mais se différencie  opportunément au niveau de la fonction. Chaque container est à son tour constitué par une pellicule plastique nécessaire pour contenir le jus et facilement détachable de l’ensemble. Chaque quartier est maintenu par un très faible adhésif. L’emballage selon l’habitude actuelle n’est pas à rendre au fabricant et peut être jeté. Chaque quartier épouse exactement le forme de la denture humaine, ce qui fait qu’une fois sorti de l’emballage on peut l’appuyer entre les dents et en extraire le jus par une légère pression.

D’habitude les quartiers contiennent en plus du jus une petite graine de la plante qui a produit le fruit. Un petit cadeau que la production offre au consommateur pour le cas où celui-ci désirerait avoir une production personnelle de ces objets. Il faut remarquer le désintérêt économique d’une telle idée, et par contre le lien psychologique qui s’établit ainsi entre le consommateur et la production. Personne ou en tout cas très peu de gens commenceront alors à semer des orangers, mais l’offre de ce cadeau hautement altruiste, l’idée de pouvoir le faire, libère le consommateur du complexe de castration et établit un rapport de confiance autonome et réciproque.

=
L’orange est donc un objet presque parfait où l’on retrouve l’absolue cohérence entre la forme, la fonction et la consommation. Seule concession décorative si l’on peut dire : la recherche de la matière à la surface de l’emballage, traitée en « épluchures d’orange » peut-être pour rappeler le pulpe à l’intérieur des containers. De toute façon, c’est un minimum de décoration parfaitement justifié, il faut bien le reconnaître.

LE DESSING « NATUREL »
L’orange

Ce remarquable texte du Designer Bruno MUNARI souligne la problématique du design dans son sens le plus large :

L’objet orange, création « naturelle », y est analysé (rapports forme/fonction, valeur d’usage/valeur esthétique) dans sa relation avec l’homme, principal acteur de l’acte de consommation. Cette vision anthropomorphique ne doit pas faire oublier que l’objet « orange », en fait organique biologique, a sa propre rationalité dans un environnement naturel d’où l’homme pourrait  fort bien être absent. Le problème se pose alors de savoir si, dans une telle hypothèse, le rapport forme/fonction de l’orange est effectivement le meilleur en fonction des impératifs de la vie et de reproduction de l’espèce. La diversité des rapports forme/fonction à partir d’une même matière biologique dans le monde des insectes par exemple, doit nous inciter à une certaine prudence dans les attitudes à l’égard d’un fonctionnalisme trop strict.



Par ailleurs l’étude des organismes et systèmes naturels constitue un secteur de recherche dont les conséquences pour le design sont immenses. En effet, les règles de développement des structures biologiques, envisagées sous l’angle de la physique et de la perception permettent, par transposition de résoudre des problèmes posés par l’élaboration de systèmes synthétiques.